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"Un siège qui crie famine"

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Message par Noé dela Tour d'Auvergne Sam 8 Nov - 0:27

Avant poste de la compagnie De la Tour d'Auvergne 
Porte ouest St Honoré-Paris 0h30 2 août 1589

"Qu'ont pende c'te maraud..."
"Mort dieu, Qu'il rôtisse dans les entrailles d'l'enfer." 
"tranchons lui les mains, ils n'en n'auras plus b'soin..."

Devant un brasero, Un groupe de soldats en guenilles et armures qui n’était plus de toute jeunesse s’étaient réunie autour d'un homme recroquevillée en position du fœtus, les mains liée et enchaînée à un poteau de bois enterrée profondément dans le sol. 
Dans la boue, au milieux des Porcs et des volailles, l'homme n'osait plus bougée. 
En pagne, il était imprégnée de sang, de terre et d’excrément, le corps couvert d'hématomes, de brûlures et de plaies sanguinolente. 

l'un des trois, un borgne au abajoues énormes, arcades sourcilière et lèvres surdimensionner avec une barbe drue le releva brutalement, actionna son bras droit et lui asséna un coup de points d'une rare violence a la mâchoire. Une gerbe de sang couleur rubis sortie de ses lèvres tuméfiée et enflées.

"Regard nous, idiot..."
  
Son visage tuméfiée, rougie par les coups de ses tortionnaire roulait dans les aires. 
A la limite de l'évanouissement, l'homme ne s'opposait plus a la mort.  
Rigolard et éméché, les trois soldats se moquaient et le traitait de tout les mots, de diable, de bâtard.
un deuxième soldats, bossue au regard bovin et a la dentition douteuse voulut de même en en faire autant en réitérant les coups mais une main sure et adroite se posa sur son épaule et exerça une pression.
cette main ne pouvait qu'appartenir qu'au duc de bouillon, le lieutenant général Noé de la tour d'Auvergne.

"Sire ! c'te pourceau n'a dit mots depuis, il faut l'marteler encore, qu'il délie sa langue de vipère..."

"Il suffit, Ce ne sera plus nécessaire, il est déjà condamnée. Le roi est mort de sa main, nous le savons tous."

il posa un silence pesant et regarda le prisonnier qui ne ressemblais plus a rien sauf a un bout de viande écorchée vifs.
cet homme avait oser s'en prendre a Henry III, il était sortie des murailles de Paris par la portes St honoré et s’était infiltrée dans la tente du roi dans la peau d'un moine. il avait prétexter être porteur de bonne nouvelles et voulait s'entretenir en priver avec lui. 
le roi l'avait laisser s’approcher. Il fut si rapide que les gardes a l'entrée ne put le retenir. Une dague s'enfonça dans les entrailles d'henry. blessée, il avait réussit a sortir de la tente du roi et passer au camp de la tour d'auvergne en courant mais les soldats l'avait cueillie. 
       
"Préparer quatre chevaux, harnachée les ensemble et enchaînée le derrière a terre, couper lui les pieds, qu'on l’éventre, qu'on l’étripe et qu'ont le traîne jusqu’à Notre dame afin que les Parisiens sachent se qu'il en coûte lorsque l'on s'en prend a nous."

De la tour d'Auvergne s'avait se montrer cruel et perfide. le camp d'en face venait de se faire un terrible ennemie.


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Message par Noé dela Tour d'Auvergne Sam 8 Nov - 20:02

Tente du lieutenant Général 2 août 1589 5h15


Après une nuit de somnolence de quelques heurs sur son lit de camp, De la tour d'Auvergne se leva et passa une robe de satin noire.
Il regarda autour de lui et s'imagina dans une chambre de son châteaux a Joze en Auvergne, chauffé par la chaleurs d'un feu dans l’âtre d'une monumental cheminée de pierre.
il ne vit rien de tous ça, seulement son lit de camp, un poil en fer blanc, un cabinet de toilette, son coffre, ses armes et son armure. il découvrit dans le lit, entre les draps une forme humaine respirant silencieusement et complètement nue. Ce n’était autre que sa catin, une fille de joie qu'il avait pris en affection. Elle n’était pas belle ni même ingrate, une fille de la campagne parisienne qui s’était proposer d'elle même afin de le distraire en dehors des combats sanglants.

"Mmmm, Sire, Revenez vous coucher....v'nez vous réchauffer prés d'moi..." dit la catin, s’accoudant sur le matelas de paille, les cheveux en batailles.  

le vicomte ne se donna même pas la peine de l’écouter, ni même de lui répondre. il avait mal au crane et une haleine fétide. il souffrait d'une gueule de bois. il avait du boire a foison a la veiller d'hier soir afin de fêter la capture du meurtrier de ce bon Henry III et l’avènement de d'Henry le IVeme, son ami roi de Navarre. 

Il sortie dehors, la mine déconfite. le soleil se levait sur un brouillard épais, les hommes dormait encore, tout était silence dans le camp.


Dernière édition par Noé dela Tour d'Auvergne le Lun 10 Nov - 17:10, édité 1 fois
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Message par Noé dela Tour d'Auvergne Lun 10 Nov - 17:09

7H20 2 août 1589 


Le vicomte s’était retournée dans sa tente et s’était débarbouiller la tète a l'aide d'un sceau d'eau tiré non loin de la dans un cour d'eau. Habillée et après s’être équipé de son armure qui déjà rouillait sur les jointure et craquelait sur les attaches, il convoqua son aide de camp afin qu'il se renseigne sur la conduite a tenir par apport a l'annonce faite hier au soir sur la mort d'henry III et la monter sur le trône de son ami Henry le roi de Navarre. 
la conduite du siège de paris depuis prés de 2 mois et demis avait redoublée les remontrances et les escarmouche dans les deux camps. Ces troubles avait été réprimée avec une férocité et une violence jamais vue dans la région. les cadavres des deux camps étaient jetée a la seine de jours en jours, l'eau virait au rouge certain matin. L'aire était putride et s'entait la chaire brûlée, les corbeaux arrivaient en masse et se déplaçait en meute dans le ciel, attaquant le premier homme a terre et finissait de l'achever si ce n’était pas déjà fait par un coup d'épée ou de hache de l’ennemie. 

Cette guerre était terrifiante.  

un morceau de pain noire rassie dans la bouche, il le mâchouilla lentement accompagné d'eau  se réchauffant par les même occasion devant un brasero au porte de sa tente. Putain de Guerre. Ces Parisiens le payerons très chère.
Mais, avant de bouger ou d'organiser une sortie afin de titiller l’ennemie, il devait savoir quelle était les ordres ? Le lieutenant général n'en avait aucune idée. il n'avait encore reçut aucune missive de sa majesté le bien nommé henry le IVeme. 
Il attendrait, la était la meilleurs occasion. 

"Sire, l'porc est ferrée, il est prêt !" dit son aide de camp, en loque. Cote de maille a moities rouillée, arrachée a certain endroit et au casque cabossée. Des taches de sang séchée brunie par le temps révélais la dure réalité du combats. 
il arrivait devant lui, pataugent par la même occasion dans la boue. Tout était gris, le ciel, l'eau, les arbres, la terres, les hommes, les visages. La boue imprégnait tous et se collais au basques, au chariot, au toiles de tente et au armures. Le camp s'enlisait et ses hommes aussi, le moral était au plus bas. 

"De quoi tu me parle ?"
"Bin Sire, Le cureton d'hier soir. On a harnachée les 4 chevaux, il est prêt."

les deux loques s’aventurèrent entre les tentes jusqu'au portes du campement ou quatre chevaux, maigres et défraîchie au poil gris et souillée, attendait la relier par une chaîne. Derrière Eux, un cadavre dans une marre de sang gisait, des moignon sanguinolent en guise de pieds. la poitrine ouverte ou l'estomac, l'intestin et les tripes pendait et découlais a même la terre. Une véritable puanteur émanait de lui.

"Ou vous a Garder ces chicots Sire, de bonne quenotte bien blanche" dit l'aide camp qui lui souriait et qui lui révéla une gencive meurtrie et infectée.
il se couvrit le nez, il eu un haut de cœur.

"Déguerpissez moi sa. Foutez moi sa dehors" 

A ses ordres, un soldat au bottes trouée a la semelle, uniforme déchirée et casque trouée frappa, a l'aide d'un fouet, le flanc cheval de tète. les quartes chevaux et l'homme tronc, qui ne ressemblait plus a rien enchaînée derrière dévala le chemin en direction des portes st honoré.

"Comment se prénommait t'il ?"
"Le Cureton ? Jaques Clément Sire."
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Message par Noé dela Tour d'Auvergne Mar 11 Nov - 1:07

10h05 2 août 1589


"Sire, les nouvelles sont plus ou moins bonne"
"Prions le seigneur pour quelles soit bonne,parle !"
"le cadavre de l’assassin a été traînée jusqu'au porte st honoré, les chevaux s'y sont heurtée. Les défenseurs ont décochée leurs frondes sur le cheval de tète qui a fait une embardée, les trois autre chevaux se sont écrasée en mêlée sur ses portes.
le cadavre de l'homme a virevoltez au dessus des murailles. A se qui se dit, les parisiens ont reconnue la dépouille de jaques clément et sont en se moment même en train de faire une procession en son honneur et de prier pour lui, ils l'ont fait martyre de la ville."
" Intolérable, Ces Parisiens non aucune fois, aucune conscience, aucune valeur. il faut s'attendre a tous...des nouvelles d'henry IV ?"
"Aucune sire mais nos éclaireurs on put établir une carte."
Spoiler:
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Message par Noé dela Tour d'Auvergne Sam 15 Nov - 15:07

3 aout 1589 en matinée

l'air était irrespirable dans le camp. Des relents de chaires en décomposition mêlée a la poudre, au sang et a l'urine se rependait partout. l'eau des rivières et de la seine qui passait non loin la était souillée et brunie. il fallait désormais compté sur les puits profond afin de trouver une eau saine.

Des hommes se préparais pour une énième escarmouche au portes de Paris, non pas pour ouvrir une brèche et y entrer mais pour couper toute les voies de communications et pour qu'aucun parisiens ne sorte de cette ville. La tour d’Auvergne avait pour stratégie de saper le moral de la cité par de petite action commandos en attente de nouvelle d’Henri IV et de troupe fraiche.
Des petits groupes d'archers se cachais en maraude dans les bois environnent et sur les berges et chemins. le hommes et femmes qui se risquait de sortir de la cité était tout de suite pris en chasse et assassinée.

Les armes s’effilait, ne coupais presque plus, et se rouillaient souillée par le sang sécher qui si agglutinais au fil des attaques. Les armures était cabossée, défoncée et détérioré, elles n’étaient presque plus protectrice. Les habits et uniforme étaient en charpies imbibée d'eau et de boue. les denrées se gâtait.
les soldats de L'armée de la tour d’Auvergne était des fantômes revenue d'outre tombes.
Les blessures agrémentait la vie du soldat sur le front, ce n’était plus des hommes, c’était des monstres ayant perdue toute humanité, s'expriment dans la violence et par des coups.

"Sire, un groupe de 10 hommes partie très tôt ce matin pour les portes sont revenue. Ils ont pris en chasse deux chariotes pleine de provision qui tentait de rentrée dans la cité. nous les avons ramenée ici et tuée l'escorte qui les gardaient."

"Excellent, des prisonniers ?"

"Non sire."

Paris suffoquai mais pour combien de temps encore.
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